J'ai
même pas relu tes messages, je tape ton nom 100 fois, sans réfléchir
mes doigts le font pour moi, habitude rassurante, solitude
accompagnée. C'est toi qui me le fait oublier alors que j'ai
tellement eu besoin d'autres pour t'évaporer. Qui l'eut cru. C'est
toi qui comble le vide de lui sans y arriver. Ce sont mes mots
avortés de lui que je t'écris. Mais je crois que lui comblait juste
le vide de celui qui n'existe pas encore ici. Une histoire de chaises
musicales, une histoire de vide abyssal, une histoire de bousculades.
Rythme ternaire ou plutôt rythme solitaire.
Commentaires
Enregistrer un commentaire