Celles
qui tourbillonnent,
bouillonnent,
qui empêchent de dormir, qui empêchent de réfléchir, qui font mal
à la tête.
Ecrire,
jouer, photographier, enseigner, voyager. Et si tout en même temps?
Pour au final rien.
C’est
difficile de se trouver, de se définir, de limiter les contours.
Parce que rien n’est figé, et que tout est fait d’aspérités,
il devient compliqué de ne pas dépasser du cadre, du cercle, du
moule bien serré. A l’heure où internet nous ouvre à tout, à la
beauté parfois
dénuée de réalité, la perte est profonde, l’homme s’y perd,
l’homme se disperse, se dissipe, se fond, se copie puis se
ressemble. Singularité plurielle.
Il
me faut m’exprimer, pour extraire ce tourbillon
bouillonnant.
Commentaires
Enregistrer un commentaire